Mardi 18 septembre, c'était la rentrée pour les ateliers d'écriture proposés par Le Fauteuil. Pour ce premier rendez-vous de l'année, nous avions pour mission d'écrire une histoire qui soit terminée, qui ait une fin si vous préférez, peu importait sa longueur. Je vous partage donc mon "oeuvre", pleine de répétitions et sans aucune prétention (écrite en moins de 30mn !). Nous avions pour nous inspirer quelques images et j'ai laissé mon esprit divaguer à partir de celles-ci...
Il était une fois un petit garçon, Pegazus. Il aimait les papillons et les colombes et en dessinait tout le temps dans le ciel avec les nuages. Il vivait dans un château dans un pays enchanté. Il avait une échelle magique qui lui permettait de monter sans danger. Un jour, dans le grenier il trouva un livre grand ouvert. Les pages représentaient un beau paysage de verdure et de fleurs. Mais surtout ce livre était particulier car il était immense ! Pegazus pouvait se déplacer dessus comme il l’aurait fait dans un vrai paysage. Ainsi, il commença à suivre le chemin dessiné. Mais ce livre était magique et Pegazus fut happé par celui-ci. Il se rendit compte que tandis qu’il avançait, le grenier disparaissait peu à peu, le paysage évoluait. Il vit bientôt des rails puis une locomotive passa en sifflant très fort. Il arriva dans une forêt où l’hiver semblait être arrivé. Tout était blanc. Les arbres étaient givrés. Pourtant, il ne faisait pas froid. Il arriva dans une clairière avec un petit étang. l’eau n’était pas glacée et faisait quelques clapotis. Le plus étrange c’était une jeune femme qui semblait danser sur l’eau. Sa tenue était faite de pétales de roses rouges. Pegazus s’approcha pour admirer la danse de la jeune femme. On n’entendait que la nature, les oiseaux, le vent dans les feuilles, les gouttes d’eau qui virevoltaient… La jeune femme finit par s’arrêter et aperçut Pegazus.
- Qui es-tu ? D’où viens-tu ?
- Je m’appelle Pegazus et j’ai suivi le chemin dans un livre. Et toi ? Comment fais-tu pour danser sur l’eau ? On dirait que tu voles juste au-dessus ?
- Je m’appelle Rubis. C’est parce que je suis connectée à la Nature. Je fais partie d’elle et elle fait partie de moi. Nous ne formons qu’un ensemble.
Soudain, les oiseaux cessèrent de chanter, le vent stoppa sa douce mélodie. Rubis fit signe à Pegazus de se taire et de la suivre. Elle le prit par la main et ils se réfugièrent dans un bosquet à l’abri des regards.
Soudain, des hommes apparurent. Ils portaient des vêtements sombres et parlaient forts. Ils se disputaient. C’était des brigands. Ils s’installèrent près de l’étang et prirent leurs aises. Ils sortirent de leurs sacs des sandwichs et des canettes d’alcool, laissant tout traîner derrière eux. Puis, ils s’affalèrent sur l’herbe pour faire une sieste. Très vite, on entendit leurs ronflements. Alors, les écureuils s’approchèrent, pas à pas, puis des lapins, des cerfs et d’autres animaux. Tous étaient choqués par l’attitude des brigands. Ils demandèrent au Grand Chêne d’agir. Celui-ci déploya alors ses branches qui s’enroulèrent autour des brigands telles des lianes et les transportèrent dans les airs.
Rubis expliqua à Pegazus que c’était ce qui se passait quand on ne respectait pas la nature.
- Mais il est tard, la nuit va bientôt tomber. Tu devrais rentrer chez toi Pegazus. Suis Perlin, l’écureuil blanc, il te ramènera chez toi.
Pegazus suivit Perlin sur un autre chemin et bientôt il se retrouva à nouveau sur le livre dans le grenier du château. Il était rentré chez lui. Mais quelle étrange aventure il venait de vivre !
- Qui es-tu ? D’où viens-tu ?
- Je m’appelle Pegazus et j’ai suivi le chemin dans un livre. Et toi ? Comment fais-tu pour danser sur l’eau ? On dirait que tu voles juste au-dessus ?
- Je m’appelle Rubis. C’est parce que je suis connectée à la Nature. Je fais partie d’elle et elle fait partie de moi. Nous ne formons qu’un ensemble.
Soudain, les oiseaux cessèrent de chanter, le vent stoppa sa douce mélodie. Rubis fit signe à Pegazus de se taire et de la suivre. Elle le prit par la main et ils se réfugièrent dans un bosquet à l’abri des regards.
Soudain, des hommes apparurent. Ils portaient des vêtements sombres et parlaient forts. Ils se disputaient. C’était des brigands. Ils s’installèrent près de l’étang et prirent leurs aises. Ils sortirent de leurs sacs des sandwichs et des canettes d’alcool, laissant tout traîner derrière eux. Puis, ils s’affalèrent sur l’herbe pour faire une sieste. Très vite, on entendit leurs ronflements. Alors, les écureuils s’approchèrent, pas à pas, puis des lapins, des cerfs et d’autres animaux. Tous étaient choqués par l’attitude des brigands. Ils demandèrent au Grand Chêne d’agir. Celui-ci déploya alors ses branches qui s’enroulèrent autour des brigands telles des lianes et les transportèrent dans les airs.
Rubis expliqua à Pegazus que c’était ce qui se passait quand on ne respectait pas la nature.
- Mais il est tard, la nuit va bientôt tomber. Tu devrais rentrer chez toi Pegazus. Suis Perlin, l’écureuil blanc, il te ramènera chez toi.
Pegazus suivit Perlin sur un autre chemin et bientôt il se retrouva à nouveau sur le livre dans le grenier du château. Il était rentré chez lui. Mais quelle étrange aventure il venait de vivre !